Un ballet aérien, lumineux, généreux, à mi-chemin entre hip-hop et classicisme. Quinze danseurs internationaux, issus du hip-hop et de la danse classique, incarnent l’écriture sans frontières du chorégraphe Hervé Koubi. Pendant 1h10, ils nous entraînent au-delà des codes du ballet et éveillent une palette d’émotions colorées.
Ode à la puissance féminine, Raphaëlle Boitel signe deux portraits de femmes de cirque, entre contorsion et vélo acrobatique. Dans La Bête Noire, la metteuse en scène s’inspire de son propre passé de contorsionniste et des prouesses physiques que cette discipline exige. Au sol ou suspendue à un agrès, l’artiste se contorsionne de mille et une façons et nous renvoie aux épreuves de la vie et à sa fragile beauté. La lumineuse Petite Reine répond au clair-obscur de la première partie. Sur un ton sensible et poétique, ce seul-en-scène de vélo acrobatique explore le thème de l’emprise amoureuse et la difficulté d’être une femme aujourd’hui. Pour se débarrasser de ses tourments, pour vivre enfin l’esprit libre, la circassienne s’élance dans une course folle.
Ode à la puissance féminine, Raphaëlle Boitel signe deux portraits de femmes de cirque, entre contorsion et vélo acrobatique. Dans La Bête Noire, la metteuse en scène s’inspire de son propre passé de contorsionniste et des prouesses physiques que cette discipline exige. Au sol ou suspendue à un agrès, l’artiste se contorsionne de mille et une façons et nous renvoie aux épreuves de la vie et à sa fragile beauté. La lumineuse Petite Reine répond au clair-obscur de la première partie. Sur un ton sensible et poétique, ce seul-en-scène de vélo acrobatique explore le thème de l’emprise amoureuse et la difficulté d’être une femme aujourd’hui. Pour se débarrasser de ses tourments, pour vivre enfin l’esprit libre, la circassienne s’élance dans une course folle.
Frichti théâtral polysémique pour se réveiller avec l’odeur du café.
Un comptoir de bois où poser son chocolat chaud, son croissant, ou son coude. Sur la tablette, deux actrices-toquées vous proposent depuis leur scène-comptoir oeuf coque, jus d’orange, madeleine… maison. Elles vous embarquent pour un rituel matinal, 40 minutes de mangeailles et de textes extraits de : petit éloge du petit-déjeuner de T. Bourcy, Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll, Mode d’emploi d’Alexandra Badéa, À la recherche du temps perdu de Marcel Proust, …
Quand tes deux dernières recherches Google sont « temps parcours bombe atomique » et « atomique pour rajeunir sans effort ≫ ça parait clair qu’il y a un rapport au monde pas sain. Nora Hamzawi revient sur scène au plus près de son intimité, utilisant son couple comme sas de décompression au chaos extérieur.
Raphaëlle Boitel metteuse en scène et chorégraphe bordelaise est une artiste au prodigieux parcours, et le Groupe Acrobatique de Tanger, ensemble époustouflant, ont enchanté les publics de la Scène nationale depuis leurs premiers spectacles. La rencontre entre ces deux univers était inévitable ! Et, voici KA-IN : la virtuosité́ et la culture militante des artistes marocain·es mêlées à la poésie en clair-obscur de Raphaëlle Boitel. Au plateau, treize acrobates enchaînent les figures dans un ballet fougueux où se croisent les références à la culture berbère et les appels à l'émancipation ! Ils inventent ensemble un langage des corps pour célébrer la liberté́, teintée du bleu de Chefchaouen.
Kurt Demey fait vivre une expérience bluffante et hors du commun ! En compagnie d’un impassible et désopilant contrebassiste, d’un ballet de métronomes synchronisés, d’une scie musicale joueuse, l’artiste flamand a tenté de défier le hasard pour saisir au vol la preuve éphémère de son existence. Activement impliqués, on suit l’enquête au travers d’expériences invraisemblables et ludiques. Coïncidence ou destin ? Hasard ou nécessité ? Les repères ont volé en éclats et les esprits cartésiens n’en ont plus fini de douter. Un spectacle de magie bourré d’humour et de mystère !
Reconditionnée », c’est plus qu’un titre c’est une signature. Cette humoriste unique, surprend une fois encore dans ce 6ème show éblouissant.
« Reconditionnée » de Christelle Chollet c’est des sketchs, des tubes revisités, des personnages, de l’énergie, des rires, de la folie, de la dérision, encore des rires, des Peaky Blinders … et tout ça en live avec ses musiciens !
Reconditionnée », c’est plus qu’un titre c’est une signature. Cette humoriste unique, surprend une fois encore dans ce 6ème show éblouissant.
« Reconditionnée » de Christelle Chollet c’est des sketchs, des tubes revisités, des personnages, de l’énergie, des rires, de la folie, de la dérision, encore des rires, des Peaky Blinders … et tout ça en live avec ses musiciens !
L’iconique Oskara de Kukai Dantza, chorégraphie par Marcos Morau, fête ses dix ans. Déjà ! La Scène nationale, coproductrice de cette aventure artistique qui a conduit la compagnie Kukai sur les plus grandes scènes d’Europe, ne pouvait pas manquer cet anniversaire. Entre danse traditionnelle basque virtuose et langage chorégraphique contemporain, Oskara arbore la beauté d’une cérémonie profonde, portée par des chants à l’intensité mystique.
Le pianiste virtuose Alexandre Taraud et l’Orchestre national de Bordeaux-Aquitaine nous ont emmenés au cinéma ! « Ce programme de musique de films était une façon de remercier des musiciens qui avaient été piétinés par la musique classique tout au long de leur carrière », affirmait Alexandre Tharaud. Si la musique de film avait peu à peu fait son entrée dans les programmations des grandes salles de concerts et des orchestres symphoniques prestigieux, le musicien multi-récompensé entendait redonner toutes ses lettres de noblesse au genre. Puisant dans ses souvenirs d’enfance, il revisita les mélodies célèbres des compositeurs du 7ème art : Ennio Morricone (Cinéma Paradiso, La Banquière), Vladimir Cosma (L’As des as, Le Grand Blond avec une chaussure noire), John Williams (La Liste de Schindler), Michel Legrand (Les Demoiselles de Rochefort, L’Été 42), Claude Bolling (Borsalino), et bien d’autres.
L’album hommage pour célébrer la légende Nina Simone, disparue il y a 20 ans. Ceci n’est pas un album de people. Avec cet hommage à Nina Simone, ce que chante Kareen Guiock-Thuram dans son premier album « Nina » est peut-être la part la plus secrète et intime de son parcours. Une voix, une silhouette familière. Et pour cause, c’est l’une des journalistes préférées des français, à la tête du 12.45 sur M6 depuis 10 ans. Une voix et une silhouette familières aussi dans les clubs de jazz parisiens où elle a fait ses armes avec application, depuis le début des années 2000, souvent invitée par son mentor, le maître du jazz caribéen Mario Canonge. Une voix exceptionnelle au service d’un répertoire exceptionnel, celui de Nina Simone, avec l’album Nina.
Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Son quotidien est rythmé par son travail et les confidences des gens de passage et des habitués. Un jour, parce qu’un homme découvre que sa mère veut être enterrée auprès d’un inconnu, tout bascule. Des liens, qui unissent les vivants et les morts, sont exhumés. Drôle, joyeux, coloré, mélancolique, mais jamais triste. Un monde dans lequel les disparus, les vivants, les morts et les coccinelles se côtoient. »